Le respect ne se demande pas, il s'impose !

Écrit par HOMODONNEUR le . Publié dans Textes divers

MAIL OUVERT 

 

Chères membres du comité de suivi épidémiologique,

Pour éviter de perdre un temps de parole précieux lors de la prochaine réunion du CSE du 8 septembre prochain, nous tenions à faire les remarques préliminaires suivantes :

  • Le PV précédent n’ayant pas été validé par notre Collectif à cause de nombreuses omissions concernant nos interventions, il serait appréciable que le PV à venir reflète a minima l’esprit des différentes interventions des divers intervenants – ou qu’il n’y en ait pas (comme par le passé) afin que l’on ne puisse pas vous accuser de faire des PV mensongers
  • Depuis la réunion du 11 mars dernier, nous n’avons reçu aucune contribution d’aucune association membre de ce CSE
  • Depuis la réunion du 11 mars dernier, hormis les projets d’arrêté et de questionnaire, nous n’avons reçu aucun document relatif à l’étude proposée pour notre réintégration, pas plus que nous n’avons reçu des réponses à nos deux contributions (EVARIN I et II)
  • Nous aurons plusieurs questions courtes et précises qui exigeront des réponses pertinentes, il est acquis que nous les poserons au fur et à mesure du déroulé de la réunion

Enfin, il est inutile comme la dernière fois, de préciser en début de réunion que les échanges doivent être empreints de respect, c’est une requête dont aucun de vous n’est capable de réciprocité.

Au cours de cette réunion nous serons malheureusement la seule association apte et légitime à représenter les 25 000 donneurs HSH exclus, par voie de conséquences nous serons dignes de cette confiance accordée et de cette responsabilité qui nous incombe depuis notre création en 2009 et d’être les militants les plus acharnés, vigilants et compétents quant à notre réelle réintégration.

Les actions coercitives en amont et en aval de la réunion du 8 septembre prochain n’auront d’autre but que de vous faire comprendre l’objet du présent mail.

Au plaisir de vous retrouver, Mesdames.

Cordialement,
Frédérique Pecharman